A vous maintenant de lire et étudier nos documents et notre site avec autant de soin que nous en avons mis à nous documenter et à les écrire car la démocratie, la vraie, dépend autant des électeurs que des élus. Nous vous demandons de ne surtout pas nous croire sur parole car les mots de la vérité ne sont pas plus lumineux que les mots du mensonge. Alors, recoupez, comparez, vérifiez nos dires dans les divers documents, dossiers et sites officiels à votre disposition.
Au sommaire :
Danièle Collombon n'aurait jamais rien proposé de concret ? | Notre présence aux réunions | Finances communales |
A propos de Montvert | Terres agricoles : validation par la Chambre d’agriculture
| Le recours de M. Billo | Dernière ferme agricole ? | Suppression des bassins de rétention | Les terres agricoles vendues par les membres de notre liste ? | Nous n’avons jamais voté pour le PLU ! | Le Parc naturel régional (PNR) | Au sujet des petits commerces | Accueillir les nouveaux arrivants | Eco-quartier | 1 000 habitants de plus sur la commune d’ici 2020 | Les méthodes coulombiennes n’ont pas changé
DANIELE COLLOMBON N’AURAIT JAMAIS RIEN PROPOSE DE CONCRET ?
Mais la majorité n’est pas franchement disposée à écouter quoi que se soit que ne vienne d’elle-même (écouter l'extrait audio d’un conseil municipal). Si la majorité avait besoin d’idées, elle avait tout notre programme des élections de 2008 à sa disposition, dans lequel elle a d’ailleurs puisé pour celui de 2014… Mais, ce qui est dommage, c’est qu’elle s’approprie les idées sans conviction et, s’en tenant au minimum, elle les sabote finalement.
NOTRE PRESENCE AUX REUNIONS
Encore un exemple frappant du mauvais esprit de la majorité sortante.
Les absences du Dr Zotian :
Avant notre arrivée, les réunions du conseil municipal se tenaient toujours un lundi à 20h30 ou 21h00.
Depuis notre entrée au Conseil municipal, ces réunions changent en permanence de jour et d’heure. Elles sont le plus souvent placées le lundi ou le vendredi à 18h30, après-midi où M. Zotian a cabinet jusqu’à 21h00. Parfois, elles sont aussi placées le jeudi mais seulement lorsqu’il n’y a rien d’important à l’ordre du jour.
Quand Monsieur Coulomb écrit : « Monsieur Zotian ne peut pas le savoir car il n’était pas représenté lors du vote de la dernière renégociation de la dette le 31 janvier 2014 », il sait que vous allez penser que personne de notre équipe n’était présent ce jour-là. Or, cette formule signifie simplement que Monsieur Zotian n’avait pas donné de procuration à l’un d’entre nous ce jour-là… Vous pouvez ainsi vous rendre compte de sa grande capacité à manipuler les écrits et les esprits.
La raison est la même pour les absences de Madame Buffa. Il n’y avait guère que Madame Collombon, professeur des écoles, qui pouvait se libérer à ces heures-là quelque soit le jour. C’est pourquoi, celle-ci n’a été absente qu’à deux conseils municipaux en 6 ans. En revanche, les réunions des commissions où elle devait siéger étaient systématiquement placées dans la matinée avant 11h30 ou dans l’après-midi avant 16h30…
Madame Buffa n’a été présente qu’à deux commissions finances, oui, mais elle n’a été conviée qu’à quatre réunions en six ans… Et en milieu de matinée ou d’après midi, bien entendu… L’une a même été placée seulement trois heures avant le vote du budget. Comment dans ces conditions étudier efficacement et sérieusement les documents ?...
Si nous sommes élus, nous déterminerons des jours et des heures de réunion fixes afin que tous les conseillers puissent s’organiser pour se rendre disponibles.
Le maire joue encore sur les mots en confondant volontairement notre présence physique aux réunions du Conseil Municipal, lieu où rien n’est débattu et où notre droit de parole n’est pas respecté, et notre présence légale d’élus de la République au sein du Conseil Municipal, celle qui nous a donné des droits et notamment le droit d’accès aux informations (droit toutefois difficile à faire respecter dans cette commune…). C’est pour cela que, malgré tous les obstacles mis en travers de notre route par le maire et ses conseillers, notre détermination à faire respecter nos droits nous a permis de réaliser un énorme travail de recherche dans les documents comptables péniblement obtenus et d’aboutir à l’analyse financière que nous vous avons proposé au cours de cette campagne.
C’est à cause de toutes ces manœuvres destinées à nous éloigner, que nous sommes impatients d’accéder à la mairie afin de plonger encore plus en profondeur dans les abysses des finances communales.
FINANCES COMMUNALES
Le candidat Pierre Coulomb ironise sur le budget
Construire le budget en fonction des recettes et non plus des dépenses semble évident pourtant ce serait bien une innovation pour Pierre Coulomb car voici comment, il construit son budget (Constaté directement sur les documents comptables fournis !) :
Si, l’année écoulée, la dépense n’a pas dépassé la prévision, celle-ci reste identique pour l’année à venir.
Si la dépense a dépassé la prévision, la somme est majorée au-delà de la dépense de l’année écoulée…
Le candidat Pierre Coulomb se vante d’avoir fait baisser la dette de 500 000 €
En six ans, la commune a remboursée plus de 3 000 000 € (1 800 000 de capital plus 1 348 000 d’intérêts) mais le niveau de la dette n’a baissé que de 500 000 €, à cause des nouveaux emprunts contractés.
Le candidat Pierre Coulomb se vante d’avoir baissé les charges de fonctionnement
Entre 2007 et 2013, les charges de fonctionnements ont augmenté de plus de 29%, bien plus que l’inflation (Frais de personnel : +25%, Fêtes et cérémonie : +39%, Petites fournitures et fournitures d’entretien : + 61%, Carburant : + de 49%, Telecom : +10%).La surcharge de compétence ne pouvant à elle seule expliquer cette augmentation.
Le candidat Pierre Coulomb se vante de s’occuper régulièrement de la dette en fonction des offres du marché
Alors que depuis 3 ans, les taux d’intérêt ont baissé, la majorité ne s’est penchée sur la renégociation d’un emprunt qu’à la veille des élections.
La dette pèse lourd sur les comptes de la commune et engage notre avenir. Comme exemple, Un emprunt de près de 1 600 000 renégocié en 2006, pour lequel il reste à payer 1 500 000 de capital sur 20 ans et plus 1 200 000 d’intérêts.
Lorsque Cléopâtre préféra en finir avec la vie, elle choisit un poison qui ne déformait pas son visage. La commune de Saint Zacharie n’en est pas loin aujourd’hui: le poison de l’endettement non maîtrisé ne se voit pas, ne se sent pas mais pourtant il agit.
Pendant des dizaines d’années, la majorité n’a jamais pratiqué d’investissements en rapport avec le niveau de ses ressources. La dépendance à l’emprunt ainsi que la possibilité d’équilibrer le budget par la hausse des impôts entretenaient l’illusion de disposer de moyens financiers inépuisables. Elle a donc, des années durant, usé et abusé de ces deux solutions pour compenser sa mauvaise gestion. Aujourd’hui, elle a épuisé toutes les solutions pour se maintenir à flots (emprunt, taux et bases d’impôt, attraction de nouveaux contribuables en vue d‘augmenter les recettes fiscales, vente du patrimoine de la commune). La commune est mal gérée depuis 20 ans, comment cela pourrait-il changer ? (Nous ne sommes pas les seuls à le dire : cf. analyse sur proxiti.info)
Aussi, si ces méthodes de gestion perdurent, plus que trois solutions seront à envisager pour Saint-Zacharie dans un avenir proche : soit la saisine par la cour des comptes avec mise sous tutelle et gel de toutes les dépenses et investissements même si les besoins ne sont pas couverts, soit une hausse des impôts, soit une dégradation des infrastructures communales et des services proposés car la commune ne sera plus en mesure de les assumer financièrement. Ceci aura inévitablement un impact négatif sur votre qualité de vie et celle de vos enfants.
MONTVERT : Zone 1 AU5 (cf. règlement PLU p55 et p 64)
Voir le document officiel de la mairie
La majorité actuelle
affirme une constructibilité maximale à 7 800 m2.
Sur cette parcelle, le
COS (Coefficient d’occupation du sol) est fixé à 0,4.
La superficie du
terrain est comprise entre 2,5 et 3 ha (cf annonce passée pour la
vente de la propriété et coupure de presse) soit entre 25 000
et 30 000 m2.
On a donc bien une
constructibilité comprise entre 25 000 x 0,4 = 10 000 m2
et 30 000 x 0,4 = 12 000 m2 dans lesquels
le bâti existant est compris.
Le COS s’applique
à toute la surface du terrain, y compris ce qui est déjà
construit, les voies d’accès, les parties impropres à la
construction (déclivité, cône de visibilité,…) et l’espace
boisé classé. On obtient ainsi par le calcul une superficie
constructible totale. Cette surface correspond à ce qui peut
légalement être construit sur les seules parties du terrain propres
à la construction.
D’ailleurs, sur cette
parcelle, un déboisement important a déjà commencé (sur environ
3 000m2 dans la partie sud de la parcelle, des chênes de plus
d’1m50 de diamètre ont été abattus. Encore une fois, quel manque
de respect !) car elle a été morcelée pour être vendue à
différents promoteurs.
En ce qui concerne la
préservation du bâtiment, nous persistons à dire que la majeure
partie du bâtiment pouvait être détruite si l’acheteur n’avait
pas eu le souci de le restaurer. Seule la façade Nord était pointée
comme élément à conserver (cf.PADD Page 24).
Remarquez
que le maire n’a pas contesté la création de commerces et
habitations…N’omettez
pas de consultez notre dossier Montvert, fort édifiant…Cf.notre dossier PLU et dossier Montvert sur notre site
TERRES
AGRICOLES :
VALIDATION PAR LA
CHAMBRE D’AGRICULTURE
![]() |
Garnier : C’est là que Pierre Coulomb compte faire pousser des chênes truffiers et des oliviers ? |
Rappel
en 2001, la Chambre d’agriculture avait validé le Plan
d’occupation des sols (POS) mais le tribunal l’a annulé par deux
fois pour « erreur
manifeste d’appréciation » car
le plan prévoyait la création d’un centre commercial à l’entrée
du village, dans un lieu à protéger (Montvert),
(Tribunal Administratif
de Nice et Cour d’Appel de Marseille).
Même si la Chambre d'agriculture a validé les zones agricoles sans y regarder de trop près, c'est la majorité municipale qui a travaillé sur le sujet, étudié la question dans le détail, établi le zonage et proposé le PLU.
Même si la Chambre d'agriculture a validé les zones agricoles sans y regarder de trop près, c'est la majorité municipale qui a travaillé sur le sujet, étudié la question dans le détail, établi le zonage et proposé le PLU.
LE
RECOURS DE MONSIEUR BILLO
D’une part, Monsieur Billo n’a déposé aucun recours, c’est son épouse qui est propriétaire. D’autre part, dans ce recours, Madame Billo faisait remarquer qu’il n’était pas normal que les terrains tout proches du sien et appartenant au premier adjoint soient, eux, classés urbanisables alors qu’ils avaient le même potentiel agricole, qu’ils étaient plat et desservis par le canal de Provence…
D’une part, Monsieur Billo n’a déposé aucun recours, c’est son épouse qui est propriétaire. D’autre part, dans ce recours, Madame Billo faisait remarquer qu’il n’était pas normal que les terrains tout proches du sien et appartenant au premier adjoint soient, eux, classés urbanisables alors qu’ils avaient le même potentiel agricole, qu’ils étaient plat et desservis par le canal de Provence…
Cette ferme est désaffectée depuis près de 15 ans. Elle a été vendue à ce moment-là, sans terres agricoles, aux propriétaires actuels qui l’avaient achetée pour créer un lieu artistique. Avant de l’acheter, ils étaient allés rencontrer le maire pour connaître les projets éventuels prévus sur les terrains entre la ferme et la RD560. Rien n’était prévu d’après lui. Dans les mois qui ont suivi, un projet de centre commercial a vu le jour et les propriétaires ont déposé un recours en annulation. Recours qui a effectivement entrainé l’annulation du projet. Cette zone était une zone à urbanisation future et non une zone agricole.
Dans
un esprit de basse vengeance, le maire a englobé les vieux bâtiments
de l’ancienne ferme dans la zone agricole qu’il a créée à cet
endroit (PLU de 2012). Ainsi, les propriétaires ne peuvent plus
réaliser leur projet artistique car ils ne peuvent recevoir de
subvention que pour un projet agricole…
SUPPRESSION
DES BASSINS DE RETENTION
La
municipalité se cache encore une fois derrière des services
administratifs, cette fois les services d’aménagement du
territoire. S’ils sont aussi efficaces que la Chambre
d’agriculture, ce n’est pas rassurant…
Le
maire joue sur les mots : les terres agricoles dont parle la
liste conduite par Pierre Coulomb ont été vendues il y a des
décennies par les familles et non par certains membres de notre
liste. Trouveriez-vous normal que l’on vous reproche
personnellement les décisions de vos parents ?
Alors
là, voilà carrément un mensonge éhonté !
La
délibération d’approbation du PLU a été soumise une première
fois au Conseil Municipal le 09
juin 2012 (délibération1).
Nous avons voté contre
mais bien sûr la
majorité municipale a voté pour et le PLU a été approuvé.
En
novembre 2012, cette
même délibération a été annulée par la majorité municipale et
présentée de nouveau à l’approbation du Conseil municipal lors
de la même séance, sous le prétexte qu’il y aurait eu un
problème dans la remise des documents à un élu en juin. Ceci était
en fait une manœuvre pour rectifier un vice de forme grave dans les
documents annexes de nature à entrainer l’annulation du PLU
(suppression sans justification d’une partie de l’espace boisé
classé.). Nous avons encore voté contre (Cf.notre dossier dossier Montvert sur notre site). Curieusement,
le compte-rendu de ce conseil municipal ne figure pas sur le site de
la mairie.
Le
maire se plaît à jouer encore une fois sur les mots pour brouiller
les esprits. Le vote « pour » dont il parle ne concernait
absolument pas l’approbation du PLU mais la soumission du projet
pour avis aux personnes associées (DDTM, ABF, …) (Cf. Conseilmunicipal du 16 décembre 2011 délibération 1).
Nous avions fait nos remarques contre certains points du PLU mais
nous ne pouvions pas voter contre la soumission du projet aux
personnes associées. C’est une étape obligatoire. Nos remarques
avaient été consignées dans un rapport remis au maire et au
cabinet d’étude chargé de l’accompagnement du projet.
Lire
que c’est la majorité actuelle qui a seule
souhaité la diminution
de la constructibilité sur les terrains de Montvert est ahurissant
quand on connaît ses projets. C’est tout de même bien elle qui
avait attribué, dès le départ, à cette parcelle un coefficient
d’occupation du sol de 0,8 ! Nous n’avons pas cessé de nous
opposer à la constructibilité sur cette parcelle. Quelle bassesse
d’oser reprendre à son compte le résultat de notre action.
Si
la majorité actuelle s’est finalement résolue à un peu abaisser
le COS, c’est après l’enquête publique au cours de laquelle
nous avons inlassablement répété nos remarques. N’oublions pas
que le COS actuel de 0,4 est encore trop élevé.
LE
PARC NATUREL REGIONAL (PNR)
Effectivement,
le maire affirme haut et fort qu’il est pour le PNR. Mais il ne
suffit pas de l’affirmer pour que ce soit vrai, encore faut-il que
les actes le confirment. Que fait-il pendant qu’il proclame cela ?
Il prévoit en 2001 de défigurer l’entrée Ouest du village au
pied de Montvert par un centre commercial monumental (le même que
celui des Arcs sur Argens…). Dans le même temps, il ne donne pas
d’avis favorable au classement du Domaine du Moulin Blanc tout
proche (mais il affirme le contraire…) car cela risquerait de gêner
la réalisation du projet de centre commercial. Il prévoit
maintenant l’urbanisation du site même de Montvert, joyaux de
notre patrimoine paysager, historique et architectural sous des
prétextes fallacieux (cf. dossier Montvert sur notre site). Il
prévoit l’urbanisation de 12 ha sur la butte de Bellevue… Donc,
à part de belles paroles, qu’a-t-il fait dans le sens du Parc
naturel ?
Certains
membres actuels de la liste Saint-Zacharie Autrement ont participé
aux recours pour préserver le site de Montvert et ils en sont fiers.
Avec leur argent, leur temps, leur énergie ils ont agi contre les
projets de la majorité actuelle. C’est bien grâce à eux, à leur
persévérance, à leurs compétences et à leur vigilance que
l’entrée de notre village est encore préservée.
Nous
maintenons que la destruction de sites remarquables dans chacun des
villages du futur parc naturel concourt à sa remise en question par
les services de l’Etat.
AU SUJET DES PETITS COMMERCES
Les commerçants eux-mêmes se plaignent du manque d’arrêts-minute et c’est sur leur demande que nous avons fait nos propositions…
ACCUEILLIR
LES NOUVEAUX ARRIVANTS
Oui, les nouveaux arrivants ont été séduits par les infrastructures existantes mais ils ne savent pas qu’elles sont saturées et que, de plus, ce sont leurs impôts qui vont aider à finir de les financer. Un peu comme si vous payiez un logement qui est déjà utilisé par d’autres…
Oui, les nouveaux arrivants ont été séduits par les infrastructures existantes mais ils ne savent pas qu’elles sont saturées et que, de plus, ce sont leurs impôts qui vont aider à finir de les financer. Un peu comme si vous payiez un logement qui est déjà utilisé par d’autres…
Lors
de la construction de la ZAC, il avait été demandé à l’adjointe
déléguée aux écoles
comment l’afflux d’enfants allait être absorbé par les écoles
et particulièrement la maternelle, amputée au même moment pour
créer la crèche. Sa
réponse avait été, texto (ne riez pas) « il n’y aura pas
d’enfants dans la ZAC !»
ECO-QUARTIER
Non, le quartier des Tuileries n’est pas un éco-quartier. A l’évidence, le maire et ses colistiers ne savent pas ce qu’est réellement un éco-quartier :
http://www.ecoquartier.ch/sites/default/files/Publication_AE_2012_0.pdf
Non, le quartier des Tuileries n’est pas un éco-quartier. A l’évidence, le maire et ses colistiers ne savent pas ce qu’est réellement un éco-quartier :
http://www.ecoquartier.ch/sites/default/files/Publication_AE_2012_0.pdf
1 000
HABITANTS DE PLUS SUR LA COMMUNE D’ICI 2020
Nous n’avons jamais dit que le seul projet d’une résidence séniors entrainerait à lui seul 1 000 habitants de plus. Sur les 12 ha de Bellevue, d’autres constructions sont également prévues. Ajoutées aux autres constructions maintenant réalisables sur l’ensemble de la commune cela fait, au moins, 1 000 habitants.
Nous n’avons jamais dit que le seul projet d’une résidence séniors entrainerait à lui seul 1 000 habitants de plus. Sur les 12 ha de Bellevue, d’autres constructions sont également prévues. Ajoutées aux autres constructions maintenant réalisables sur l’ensemble de la commune cela fait, au moins, 1 000 habitants.
Ce
nombre est d’ailleurs inscrit dans le PLU de 2012. (cf. sitemaire : PADD page 14)
Toujours
la même mauvaise
fois, la même agressivité, la même vulgarité. Un exemple parmi
tant d’autres :
La
liste « Union pour Saint-Zacharie conduite par Pierre Coulomb
se moque de la présence de deux couples sur la liste Saint-Zacharie
Autrement en pointant l’incohérence entre nos critiques passées
et nos actes présents. Comparez les documents ci-dessous qui parlent
d’eux-mêmes et vous pourrez juger qui est le plus incohérent…
![]() |
Cliquer pour agrandir |
Tract du candidat Pierre Coulomb se moquant de la « liste familiale » de ses adversaires du moment.
![]() |
Cliquer pour agrandir |
Lettre d’André Zotian à l’attention du candidat Pierre Coulomb.
![]() |
Cliquer pour agrandir |
Tract du candidat Pierre Coulomb se moquant de la liste familiale Saint-Zacharie Autrement.
Notez
que, outre le fils du maire sortant, se trouvent également sur cette
liste :
> M. Pollus, cousin de celui-ci,
> madame Corinne Prati, fille du premier adjoint sortant Mr Paul Pascal…
Si cela n’est pas une liste familiale ne serait-ce pas alors une succession qui s’organise ?
> M. Pollus, cousin de celui-ci,
> madame Corinne Prati, fille du premier adjoint sortant Mr Paul Pascal…
Si cela n’est pas une liste familiale ne serait-ce pas alors une succession qui s’organise ?
Notez
également que sur la liste de madame Locato, se trouvent un couple,
un père et son fils, un couple et son fils sans que cela n’offusque
le candidat Pierre Coulomb. Il apparaît donc que la liste d’André
Zotian, loin d’être incompétente, semble surtout très
inquiétante pour lui…